essay on habitat
2018
This fictional essay was entirely written by an algorithm. It analyzed a corpus of scientific articles and listed the vocabulary used. It then generated successions of letters based on the probabilities of the Markov chain.
This work was published in the issue C of the periodical Librarioli. The proposed reflection is about the neologism invented by the American writer of Science-fiction Philip K. Dick: Conapt. Apocope of « condominium apartment », it is inspired in its composition by life support systems, i.e. autonomous habitats allowing the survival of a human or his group without intervention or external help.
Essai sur l'habitat
Relation avec les usages et les pratiques des lieux
L’idée d’une vie privée en l’espace public est de l’insensisment, la sphère privée attachée à l’univers domestique comme une entrave à la liberté individuelle dans l’architecturale commence à être questionnée par la communauté intellectuelle qui y voit une sociésion contraire à l’habitation.
Alors que les années 1960 observent essentiellement une diminution nette historique de l’échangénération, l’évolution se poursuit jusqu’au paléolithique à travers les approches philosophiques, socioanthropologiques et psychosociales. Les cités helléniques, puis latines, sont politiques d’une société donnée.
« Habiter, c’est avoir des habitudes »
Au-delà des conformismes sociaux, l’habitat au fil des grandes évolutions dans le temps est au cœur de relations domestiques qui évoluent (les tâches domestiques, le « chez soi ») mais ses frontières sont floues : il est constitué d’une panoplie de données qui placent l’habitat dans une approche d’autoproduction de son « modulor ». La cuisine-laboratoire en fournit un bon exemple avec l’introduction de la démograngénération qui ne permet pas, à elle seule, de prendre en compte l’action des divorces et des aspirations à une meilleure qualité de reproduction.
Des bouleversements de grande ampleur
Le contrôle de l’espace
Les professionnels de l’habitat au cœur d’une stratégie construite par l’individu dans l’organisation sont intimement liés aux modes de vie, et amènent à aller au-delà de la conception purement économique d’un produit immobilier. Davantage que quatre murs et un toit, l’habitat que ce dernier propose est l’étude du logement comme un aboutissement social. La seconde guerre mondiale marque une rupture avec les usages et pratiques : la remise en question du droit au logement face à la fracture sociale constatée devant la stigmatisation massive de l’électroménager qui « facilite » la vie domestique. Il s’agit d’une évolutions des modes de vie à la fois contextuels et rationnels de l’habitat collectif de grande ampleur quelle que soit l’approche éco-ethno-urbaine.
Un compromis parfois trop lourd
Mais la seconde moitié du XIXème siècle un bouleversement de grands phénomène est accompagnée d’une disqualification portée par une tendance à la colocation… La cellule familiale et interindividuelle des professionnels du logement, notamment en maison individuelle, met en évidence les limites du « produit logement » collectif et la maison devient le lieu du « ressourcement », de la détente, avec cette possibilité rare de mettre à distance la société¹.
Les néologismes sont indiqués en italique.
Essai sur l'habitat
Relation avec les usages et les pratiques des lieux
L’idée d’une vie privée en l’espace public est de l’insensisment, la sphère privée attachée à l’univers domestique comme une entrave à la liberté individuelle dans l’architecturale commence à être questionnée par la communauté intellectuelle qui y voit une sociésion contraire à l’habitation.
Alors que les années 1960 observent essentiellement une diminution nette historique de l’échangénération, l’évolution se poursuit jusqu’au paléolithique à travers les approches philosophiques, socioanthropologiques et psychosociales. Les cités helléniques, puis latines, sont politiques d’une société donnée.
« Habiter, c’est avoir des habitudes »
Au-delà des conformismes sociaux, l’habitat au fil des grandes évolutions dans le temps est au cœur de relations domestiques qui évoluent (les tâches domestiques, le « chez soi ») mais ses frontières sont floues : il est constitué d’une panoplie de données qui placent l’habitat dans une approche d’autoproduction de son « modulor ». La cuisine-laboratoire en fournit un bon exemple avec l’introduction de la démograngénération qui ne permet pas, à elle seule, de prendre en compte l’action des divorces et des aspirations à une meilleure qualité de reproduction.
Le contrôle de l’espace
Les professionnels de l’habitat au cœur d’une stratégie construite par l’individu dans l’organisation sont intimement liés aux modes de vie, et amènent à aller au-delà de la conception purement économique d’un produit immobilier. Davantage que quatre murs et un toit, l’habitat que ce dernier propose est l’étude du logement comme un aboutissement social. La seconde guerre mondiale marque une rupture avec les usages et pratiques : la remise en question du droit au logement face à la fracture sociale constatée devant la stigmatisation massive de l’électroménager qui « facilite » la vie domestique. Il s’agit d’une évolutions des modes de vie à la fois contextuels et rationnels de l’habitat collectif de grande ampleur quelle que soit l’approche éco-ethno-urbaine.
Un compromis parfois trop lourd
Mais la seconde moitié du XIXème siècle un bouleversement de grands phénomène est accompagnée d’une disqualification portée par une tendance à la colocation… La cellule familiale et interindividuelle des professionnels du logement, notamment en maison individuelle, met en évidence les limites du « produit logement » collectif et la maison devient le lieu du « ressourcement », de la détente, avec cette possibilité rare de mettre à distance la société¹.
Les néologismes sont indiqués en italique.
Essai sur l'habitat
Relation avec les usages et les pratiques des lieux
L’idée d’une vie privée en l’espace public est de l’insensisment, la sphère privée attachée à l’univers domestique comme une entrave à la liberté individuelle dans l’architecturale commence à être questionnée par la communauté intellectuelle qui y voit une sociésion contraire à l’habitation.
Alors que les années 1960 observent essentiellement une diminution nette historique de l’échangénération, l’évolution se poursuit jusqu’au paléolithique à travers les approches philosophiques, socioanthropologiques et psychosociales. Les cités helléniques, puis latines, sont politiques d’une société donnée.
« Habiter, c’est avoir des habitudes »
Au-delà des conformismes sociaux, l’habitat au fil des grandes évolutions dans le temps est au cœur de relations domestiques qui évoluent (les tâches domestiques, le « chez soi ») mais ses frontières sont floues : il est constitué d’une panoplie de données qui placent l’habitat dans une approche d’autoproduction de son « modulor ». La cuisine-laboratoire en fournit un bon exemple avec l’introduction de la démograngénération qui ne permet pas, à elle seule, de prendre en compte l’action des divorces et des aspirations à une meilleure qualité de reproduction.
Une ambiguïté linguistique
Étymologiquement, l’écologie urbaine est un courant relativement ancien, des travaux en sciences de la nature à travers les sens donnés par les acteurs eux-mêmes à ces usages des lieux. Raisonner en terme « d’habiter » conduit à poser, en sens inverse, la question des modes de vie « d’habiter » pour reprendre l’expression directe¹. C’est en ce sens que l’étude des modes de vie tels que nous les avons définis sont fortement impactés par des déterminismes crosophilosociaux intégrés au sein de la stratégie ménagenre. Habiter, ce n’est pas seulement résider, Habiter, c’est s’approprier un espace intime cloisonné, protégé du monde extérieur mais implique de se placer au centre de sa réflexion encore plus approfondie.
Des bouleversements de grande ampleur
L’accession à la propriété demeure dominant en France en apportant souvent dans le décor des lieux habités, [...] la structure des relations domestiques sont davantage réparties dans le couple.
On constate l’impossibilité de concevoir une offre de logement collectif en termes de productivité et d’efficacité sociale. Cette décohabitation est une crise du modèle résidentiel.
Alors que l’on retrouve l’habitectuel dans l’architecture partagée entre les sexes, une distinction perdure entre les membres de la famille afin d’assurer un espace « public » de réception. L’art de la distribution des ménages en termes « d’habiter » à travers l’approche écologique de l’habitat, dont le cadre de référence sur la définition et l’étude des modes «d’habiter» focalise une réflexion plus large que celle du logement.
Le contrôle de l’espace
Les professionnels de l’habitat au cœur d’une stratégie construite par l’individu dans l’organisation sont intimement liés aux modes de vie, et amènent à aller au-delà de la conception purement économique d’un produit immobilier. Davantage que quatre murs et un toit, l’habitat que ce dernier propose est l’étude du logement comme un aboutissement social. La seconde guerre mondiale marque une rupture avec les usages et pratiques : la remise en question du droit au logement face à la fracture sociale constatée devant la stigmatisation massive de l’électroménager qui « facilite » la vie domestique. Il s’agit d’une évolutions des modes de vie à la fois contextuels et rationnels de l’habitat collectif de grande ampleur quelle que soit l’approche éco-ethno-urbaine.
Un compromis parfois trop lourd
Mais la seconde moitié du XIXème siècle un bouleversement de grands phénomène est accompagnée d’une disqualification portée par une tendance à la colocation… La cellule familiale et interindividuelle des professionnels du logement, notamment en maison individuelle, met en évidence les limites du « produit logement » collectif et la maison devient le lieu du « ressourcement », de la détente, avec cette possibilité rare de mettre à distance la société¹.
Les néologismes sont indiqués en italique.
Lorem